Si l'activité économique accuse une baisse de régime dans certains secteurs en raison de la pandémie, ce n'est pas le cas pour notre paroisse qui, au cours du week-end n'a pas connu moins de trois messes !
En effet, samedi 17 avril à 17 h30 un office était célébré par l'abbé Jean-Marie Telle et notre diacre Didier en l'église Saint Nicolas de Le Favril. La chorale de ce sympathique village étant réduite, la chorale des « Bousiquettes » et une partie de celle de Landrecies étaient venues la renforcer.
Si l'assistance n'était pas des plus importante les paroissiens eurent le plaisir partagé de revoir, pour la première fois depuis de nombreux mois, leur doyenne, Hélène Carion qui fêtait ses 100 ans en octobre dernier.
Le lendemain, l'habituelle messe dominicale avait été avancée à 9 h. Ce furent, une fois encore, l'abbé Jean-Marie et Didier qui officièrent tandis que la chorale accueillait avec soulagement et plaisir Mr Bernard Haroux de Catillon-sur-Sambre, venu remplacer Fabrice au synthé. Un bel exemple de solidarité.
« Jamais deux sans trois » dit -on, ce qui se confirma puisqu'une troisième célébration, menée par l'abbé Jean et Didier, d'une part, les servants d'autel, d'autre part et la chorale de Bousies, permit à Aïdan, Florent, Jeanne, Joris et Zélie, de communier, pour la première fois, au corps du Christ.
Tout au long de la cérémonie Pierre Sommain assura la projection des chants sur écran permettant ainsi à l'assemblée de participer pleinement.
Samedi prochain à Landrecies, dix autres enfants devraient, à leur tour, faire leur première communion en présence de leurs familles.
Notons que le dimanche 9 mai, des professions de foi seront célébrées à Landrecies à 10h30 en lieu et place de la traditionnelle messe dominicale. Cet office sera exclusivement réservée aux enfants et à leurs familles.
Pour les autres paroissiens ils auront le choix entre une messe à Maroilles le samedi 8 mai à 17h30 ou une autre le dimanche 9 mai à 10h30 à Englefontaine.
Attention à l'heure du samedi qui pourrait être reculée à 18 h si le couvre-feu venait à être levé.
Pierre Péchiné